La généalogie c’est, d’après le dictionnaire, « le dénombrement, liste des membres d’une famille établissant une filiation. » Mais il n’y a pas que cela. Pour moi la généalogie comprends beaucoup de domaines : l’histoire, l’héraldiques, les cousinades….
Voici mon parcours généalogique d’hier à demain…qui sait ?
Recherches généalogiques :
Les principales sources d’information sont :
- La mémoire et les archives familiales c’est ainsi que mon grand-père et des cousins m’ont beaucoup aidé au départ.
- Les archives municipales : de nombreuses mairies ont reçu mes demandes au départ !
- les associations : j’ai fait peu appel à elles mais j’ai vraiment envie de me tourner vers ces groupes maintenant
- Les sites Internet :
- De plus en plus d’archives départementales et municipales numérisent leurs archives et les rendent disponibles sur Internet : ce qui me permet de développer certaines branches restées bloquées faute de pouvoir me déplacer.
- Les sites de partage : Geneanet principalement pour moi. J’ai bien ce site même si par moment certaines personnes sont revêches.
Représentation de la généalogie
Les logiciels de généalogie
L’informatique a facilité certaines tâches du généalogiste. Une spécification d’échanges de données généalogiques entre les logiciels s’est peu à peu imposée : la norme GEDCOM, acronyme de GEnealogical Data COMmunication. Elle fut initialement développée par les chercheurs de la Société Généalogique de l’Utah, avec désormais la participation active de concepteurs du monde entier.
Un large éventail de logiciels (commerciaux, mais aussi gratuits et libres) permettent de gérer sa bases de données d’ancêtres, et d’imprimer des listes d’ascendance, de descendance ou sélectives. Mais également d’imprimer son arbre en choisissant son modèle.
Sans vouloir faire de pub moi j’ai Hérrédis et j’aime beaucoup. Le hasard a voulu que ce soit celui que l’on m’offre il y a maintenant plus de 10 ans et depuis je ne cesse de l’utiliser dans sa version la plus récente.
Arbre généalogique
La représentation graphique des relations familiales au Moyen Âge se fait sur le modèle biblique de l’Arbre de Jessé, la première représentation non biblique se trouve dans la Genealogia deorum gentilium (« Généalogie des dieux des païens ») de Boccace au milieu du XIVe siècle. Les ancêtres sont modélisés dans les racines qui sont dessinées soit dans le ciel, soit dans le sol, le modèle n’ayant toujours pas été tranché.
De nos jours, la création d’arbres généalogique utilise principalement l’outil informatique. Cet outil permet notamment de gérer les différents modes de présentation d’un arbre généalogique en prenant en compte le problème de l’espace disponible pour l’affichage d’un arbre.
C’est bien et pas bien de mon point de vue car plus vous avez de générations moins il est possible d’acheter des arbres à remplir ou alors ils ne sont pas très clairs !
Sciences associées à la généalogie
Héraldique
L’héraldique est la science du blason, c’est-à-dire l’étude des armoiries (ou armes). C’est aussi un champ d’expression artistique, un élément du droit médiéval et du droit d’Ancien Régime. Actuellement, elle constitue une science auxiliaire de l’histoire.
C’est quelque chose que je n’ai jamais utilisé car je n’ai jamais découvert de famille qui en avait. Un peu dommage mais bon c’est comme cela.
Les cousinades
Une cousinade est une réunion de personnes ayant en commun un ou plusieurs ancêtres, plus ou moins éloignés, parfois de plusieurs générations.
J’aime beaucoup ce concept, mais cela prend du temps et il faut avouer que tout le monde n’est pas toujours coopératif. Il m’est arrivé une fois de me rendre à une cousinade organisée par un lointain cousin. Quand il nous a présenté à un de ses cousins germains en expliquant que mon arrière-grand—père était le frère de leur grand-père, j’ai eu le droit à « Ha vous descendez du voleur ! ». Il y a, a priori, eu un grief entre les deux frères dont j’ignorai l’existence.
Généalogie et génétique
C’est une nouvelle façon de rechercher ses ancêtres fondée non plus sur l’étude des registres d’état-civil, mais sur l’analyse de l’ADN. Des laboratoires, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, proposent des tests permettant d’identifier ses ancêtres lointains, sa région d’origine ou son groupe ethnique.
Moi je trouve cela malsain comme procédé et je n’en vois pas vraiment l’intérêt.
Je suis assez d’accord pour l’ADN 😉 En revanche je fais partie de 3 associations généalogiques départementales, et ces contacts sont toujours d’une grande richesse, j’ai beaucoup appris, beaucoup échangé grâce à eux. Il y a souvent dans ces assoc de grands spécialistes de tel ou tel village. Des mémoires vivantes ! Bonne continuation.
Je suis d’accord c’est pourquoi je songe très sérieusement à adhérer !