J’ai plusieurs cas qui sont de vraies petites énigmes que j’espère bien percer un jour.
La famille sortie des bois
La branche ROYER par exemple je sais que plusieurs cousins éloignés ont le même problème que moi. Le plus haut que l’on arrive à remonter est Claude ROYER vers 1719 à Saulxerote (54). Mais je n’arrrive pas à trouver d’acte dans cette commune.
Tout ce que l’on sait c’est qu’ils sont arrivés avec d’autres avant 1739 et se sont installés dans la forêt de St Amond. Ils étaient sabotiers, charbonniers et avaient de gros problèmes avec les habitants qui les accusaient de piller la forêt, ils disparaissaient pendant six mois dans l’année. Impossible de savoir d’où ils venaient. Ce qui est assez drôle c’est que j’ai découvert cela après le décès de mon grand-père qui avait l’habitude de dire qu’il descendait d’hommes des bois !
L’acte introuvable
Dans l’Aisne, j’ai un problème avec le patronyme MASSIOUX, je n’arrive pas à découvrir l’acte de naissance de mon aïeule Constance qui est citée sur les actes de naissance et de mariage de sa fille mais sans date de naissance précise. Elle avait 25 ans en 1841 et serait née à Laon. Mais soit les informations sont erronées soit l’acte n’est pas présent aux archives. De plus elle ne semble jamais avoir épousé le père de sa fille qui vient la reconnaitre plusieurs jours après sa naissance et qui consentira au mariage de celle-ci par un acte notarié. Ils n’ont a priori jamais vécu dans la même ville non plus.
L’an 1841, le 5 février à 12 h. Par devant nous Augustin Ganault, conseiller municipal, faisant fonction de Maire et d’officier d’Etat civil de la ville de Laon canton et arrondissement de Laon, département de l’Aisne. En compagnie d’Elisa Moucheroux, sage femme accoucheuse, domiciliée en cette ville âgée de 24 ans, laquelle nous a présenté un enfant du sexe féminin née en la demeure de l’accouchée au dit Laon hier à 20h30 du soir, fille naturelle de Constance Emélie Massioux, couturière en linge, née et domiciliée à Laon âgée de 25 ans et auquel enfant a été donné les prénoms de Marie-Joséphine. Les dites déclarations présentes faites en présence de Jules Derondelé fomierge appariteur âgé de 37 ans et de Pierre Morène agent de police âgé de 35 ans domicilié en cette ville. Et nous, les comparants et témoins ont signé avec nous le présent acte après lecture faite. |
Le fantôme
En Ille-et-Vilaine, j’ai eu récemment la blague de Jean SOIF décédé en 1782 à Chateaugiron et présent à l’enterrement de sa femme Jeanne DEBRAIRE 4 ans plus tard en 1786. Je n’ai pour le moment pas retrouvé de remariage pour celle-ci, même si cela doit être le cas. De plus, en relisant plus attentivement l’acte de décès de Jean, sa femme se nomme Perrine BROISE. Est-ce la même et le nom a été changé par le rédacteur?
Ce couple me donne du fil à retorde.
Les branches cousines mais injoignables
J’ai du côtés de chacun de mes parents le patronymes BEGLOT. Nous savons, car mes grands-parents les ont connu, que ces deux branches étaient de la même famille. Du côté maternelle, c’est la mère de mon arrière-grand-mère. Du côté paternel c’est un cousin éloigné de mon grand-père. Pour le moments mes recherches pour faire le lien entre ces deux branches sont restées vaines.
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