Erreur sur la personne
J’ai traversé les décennies pour rencontrer Marie-Joséphine Massioux mon arrière-arrière-arrière-grand-mère. Mais, il y a eu comme un couac et la Marie-Joséphine que j’ai rencontré n’était pas la bonne.
J’ai traversé les décennies pour rencontrer Marie-Joséphine Massioux mon arrière-arrière-arrière-grand-mère. Mais, il y a eu comme un couac et la Marie-Joséphine que j’ai rencontré n’était pas la bonne.
Ces 57 couples sont mes ancêtres en ligne directe de la génération 4 ( mes AAGP) à la génération 7. Ils ne sont que 57 au lieu de 60 car j’ai un couple d’arrière-arrière-grand-parents qui était cousins germains. Ces couples sont ceux que j’ai décidé d’étudier pour écrire l’histoire de ma famille. C’est sans compter…
François Pailliette est né à Soissons en 1819 de Jean-Marie, cordonnier et de Marie-Adelaïde Bouché. Je ne lui connais ni frère ni sœur.Il sera peintre en décors.
Selon une étymologie populaire, cordonnier vient du mot corde, car les premiers cordonniers utilisaient des cordes pour fabriquer des chaussures : une légende fantaisiste veut que le faiseur de chaussure de Charles II le Chauve n’ayant pas les cordons (lacets) que lui réclamaient le roi en 859, ce dernier fit imprimer sur son front le sceau…
Marie-Joséphine est née en l’an de grâce 1841 à Laon. Elle est alors la fille naturelle de Constance Massioux. Deux semaines après sa naissance, elle est reconnue par son père François Pailliette. Ses parents a priori ne se marieront jamais. Son père vivant à Soissons, il consentira à son mariage via un notaire en 1860.…