C’est un véritable débat qu’a lancé Elise. En effet en proposant de reprendre sa génealogie a zéro, elle n’a pas laissé les généablogueurs indifférents.
Pour ma part j’avoue que je n’ai pas le courage de tout recommencer depuis le début. Cependant grâce à mon grand projet d’écrire l’histoire de ma famille je me suis rendue compte que pour pas mal d’actes je n’ai pas la version numérique ni même la version papier fournie par la mairie. Cela s’explique de plusieurs manières : pour deux branches j’ai récupéré les informations données par des cousins qui se bornaient à des noms et des dates exclusivement en ligne directe. D’autre part lorsque j’ai commencé les archives n’étaient pas sur Internet et j’ai fait plusieurs voyagenealogiques aux archives départementales pour récupérer les actes. A l’époque n’ayant pas les moyens de payer plusieurs photocopies (j’étais étudiante) je recopiais dans un cahier les actes qui m’intéressaient. Au final pour tout cela aucune information n’est sourcée.
Pour la partie que j’étudie actuellement, c’est-à-dire jusqu’à la révolution je suis obligée de tout reprendre, de récupérer les actes qui me manquent et de compléter avec les frères et sœurs que je veux dorénavant intégrer. Cela me permet de corriger mes erreurs de jeunesse et de compléter par des informations que je n’avais pas spécialement remarqué à l’époque comme les témoins qui sont en famille avec le déclarant ou les mariés par exemple.
Au final, je pense que ceux qui font de la généalogie depuis longtemps sont pour beaucoup dans mon cas. En effet, dans l’effervescence des débuts on est tellement content de trouver un acte que l’on ne pense pas forcément à sourcer et à récupérer les informations connexes. Mais comme dit l’expression « Chat échaudé craint l’eau froide « . Donc, je me retrousse les manches et au boulot
Coucou Céline
Je me retrouve complètement dans tes propos ayant commencé la généalogie il y a déjà plus de 20 ans en allant aux archives et dans les mairies et en ne faisant que des ré transcriptions sauf copies des mairies.
Combien d’enveloppes prétimbrees ai je envoyé …:-)
Je commence le même travail que toi…et ça reste passionnant
Bon dimanche
Je suis dans le même cas que toi. Pour ma part, j’ai commencé en 1979 lorsque j’étais une jeune étudiante. L’excitation de la découverte et le manque de moyens de l’époque (j’avais des correspondants dans les archives qui me relevaient manuellement les actes!) m’ont fait quelque peu oublier de récupérer les sources. Il me manque un grand nombre d’actes sur les 4 premières générations d’où l’intérêt de repartir à zéro…
Sans compter que depuis sont nés des petits enfants et qu’il m’est venu l’idée de recommencer avec leur branche paternelle… ! Le généalogiste (même amateur) ne s’arrête jamais… c’est ce qu’il y a de passionnant.
Bon WE.