J’ai eu du mal à lire ce livre, non pas qu’il n’était pas intéressant mais dès que je l’ouvrais je pensais à ce qu’à pu vivre mon grand-père.
J’admire vraiment le courage et la ténacité de Stéphanie qui pendant 5 ans a enquêté sur l’homme dont le portrait se trouvait dans la chambre de son grand-père.
Mon oncle de l’ombre est à la fois un ouvrage historique sur maquis breton durant la seconde guerre mondiale, une enquête minutieuse et très documentée, enfin un guide qui inspirera ceux qui comme moi voudraient se lancer dans des recherches généalogiques sur ce même type de dossier.
La rédaction est vraiment passionnante. Elle se lit comme un roman. On se prend à espérer une fin heureuse alors que l’on connaît l’issue tragique dès le départ.
A lire pour vous replonger dans une histoire pas si lointaine. Merci beaucoup à Stéphanie de nous avoir partagé cette partie d’histoire de sa famille.
Grâce à ce superbe travail elle a même obtenu que son grand-oncle soit décoré à titre posthume de la médaille de la résistance. C’est un magnifique hommage.
Résumé éditeur
12 juillet 1944. Des rafales de mitraillettes brisent le silence de l’aube dans une fermer du Morbihan. André Gondet, 23 ans, s’écroule sous les balles au milieu de ses camarades résistants. Ce sanglant épisode marque les habitants des environs au fer rouge. Dans la famille Gondet, la douleur serre la gorge et scelle les lèvres. La souffrance est aussi vive que silencieuse. Soixante-dix ans plus tard, André n’est plus qu’un nom sur un monument aux morts. De lui, il reste seulement un portrait dans un vieux cadre accroché sur un mur de la maison familiale. Une photo qui finit par attirer le regard et la curiosité de l’une de ses petites nièces. Qui était cet homme dont son grand-père ne prononçait pas le nom? Quel était son combat? Par quoi était-il animé?
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