Dans mon dernier billet je vous ai présenté la troisième générations de Pailliette qui ont vécu à Soissons. Dans ce billet, je vais vous présenter la quatrième dans ma généalogie.
Les enfants de Jean-Marie
François
François Pailliette est né à Soissons en 1819, il est mon sosa 74. Il sera peintre en décors.


En 1841, il reconnaîtra le 16 février à Laon être le père de Marie-Joséphine Massioux née le 4 du même mois. Cependant il n’épousera jamais Constance, la mère de celle-ci.
Le 6 juillet 1844 il épousera Ambroisine Magniez à Saint-Quentin une couturière.
Le couple savait signer.


Le couple aura une fille Marie-Adèle qui est née le 21 juin 1845 toujours à Saint-Quentin.


François décèdera à Saint-Quentin en 1877. Je n’ai pas trouvé le décès d’Ambroisine.

Sophie
Sophie, Adélaïde est née alors que son frère avait déjà 12 ans. Je n’ai pas trouvé d’enfant entre les deux.


Elle s’installe à Paris avec ses parents. Elle épouse le 16 novembre 1861 un employé de commerce Jean-Charles Kreyer. Ils profitent du mariage pour reconnaître leur fils Frédéric âgé de 8 ans. Je ne leur ai pas trouvé d’autre enfant. Son père étant décédé son oncle Louis-Charles et son frère François ont fait le déplacement depuis Soissons. Chose étonnante ou amusante, ils reconnaissent avoir un fils ensemble mais déclarent deux adresses différentes Jean-Charles habite avec sa mère au 23 rue de Malte alors que Sophie vit avec la sienne au 18 de cette même rue.

Sophie décède en 1875 toujours à Paris.

Je n’ai pas trouvé l’acte de décès de Jean-Charles Kreyer. Il était toujours en vie en 1876 au mariage de leur fils Frédéric.
Athanase, le fils de Louis, Charles
Athanase est né le 31 juillet 1836.


Il deviendra représentant de commerce et s’installe dans un premier temps à Paris.
En 1876, il vit 33 rue des bourdonnais, pas loin du Pont Neuf. Malgré la distance il présent au décès de son père cette année à Soissons et fait même la déclaration de décès.
Deux ans plus tard le 13 aout 1878, il épouse à Villenauxe dans l’Aube Jeanne Vallot une veuve. Il est indiqué comme représentant de commerce en bonneterie et vit toujours à la même adresse à Paris. Sa mère ne peut se déplacer depuis Soissons mais donne son accord au mariage via son notaire.

Le mariage ne fonctionne pas longtemps car en mars 1880, Athanase fait publier dans le journal « Archives commerciales de France » un avis de séparation.

En 1883, Athanase est présent à Soissons pour déclarer la décès de sa mère. Il vit alors à Bordeaux sans adresse précisée dans l’acte.
Jeanne Valot décède à Paris en 1896, elle est alors indiquée veuve d’Athanase.

Ainsi Athanase et Jeanne n’ont jamais divorcé. En 1896 il est donc décédé mais je ne sais ni où ni quand. Je n’ai pas réussi à trouver ni à Paris ni à Bordeaux dans les TD de ces années là.


Série sur les Pailliette de Soissons
- 1ère partie – Les deux premières générations
- 2ème partie – La troisième génération
- 3ème partie – La quatrième génération
- 4ème partie – La cinquième et dernière génération
- 5ème partie – Un descendant pas très brillant